J’ai la chance d’avoir une mère et une grand-mère, qui aiment coudre. Avec le temps, elles ont amassé un nombre important de tissus de toute sorte. Du coup, j’aime me mettre en mode récup’, et aller fouiller dans leurs stocks, pour dénicher des coupons sympas. Ces derniers ne sont pas forcément très grands, mais largement suffisant pour réaliser de petites choses comme ces deux trousses, qui me permettent de ranger tout mon petit matériel de couture.

Comme je souhaitais que les trousses tiennent debout, les côtés sont triangulaires et la doublure est assez rigide pour assurer un bon maintien.

Pour ‘’habiller’’ mon fauteuil crapaud, j’ai réalisé ce petit coussin de 30cm de côté. Il est fait de différentes chutes de tissus, avec plusieurs textures (jean, coton, simili cuir…). Chaque face a une couleur dominante : recto vert, verso orange. 

Pour mettre un peu de couleurs dans la cuisine, j’avais réalisé, il y deux ans, ces deux galettes pour les tabourets du bar. Les coussins sont composés d’un bloc de mousse coupé aux dimensions des tabourets et d’une housse en tissu pouvant être retirée. J’avais envisagé d’ajouter des lanières sur les côtés pour les accrocher aux tabourets. Mais j’ai laissé tomber, car je ne trouvais pas le résultat très esthétique et puis, au final, cela ne me gênait pas plus que ça que les coussins puissent bouger un peu de l’assise.

        Voici une malle fabriquée, il y a deux mois, au moment où il me manquait cruellement de rangement. Au départ, j’en avais repéré une très sympa chez Maisons du Monde, mais elle n’était vraiment pas dans mon budget.  Comme j’avais besoin d’une malle seulement pour ranger et pour faire beau (pas de transport en vue), je me suis mise en tête d’en fabriquer une en carton. Pour cela, je suis partie de deux boîtes avec couvercle PAPPIS de chez Ikea, que j’ai assemblé par les grands côtés. Après avoir renforcé toutes les faces avec du carton ondulé, j’ai recouvert la malle à l’extérieur de tissu et à l’intérieur de serviettes en papier et de simili cuir. Pour les décorations extérieures, je me suis totalement inspirée de la malle Darlington de Maisons du Monde, que je trouve très belle. Finalement, ce fut plus long que compliqué à réaliser (environ 40h). La malle ne semble pas être en carton, donc c’est nickel et elle remplit très bien sa fonction de rangement.

Même si je possède déjà un sac pour transporter ma tablette tactile, j'ai eu envie de créer cette petite pochette, pour la glisser dans n'importe quel sac.

Pour la forme, je me suis inspirée des vestes de tailleur, car je souhaitais une housse assez sobre, mais avec un brin d'originalité. J'ai ajouté un passepoil et des boutons de couleur pour égayer l'ensemble. Une poche est intégrée sur le devant pour pouvoir ranger ma paperasse ou un stylet.

Certainement à cause des beaux jours qui reviennent, je n'ai pas pu m'empêcher de ranger un peu mon petit atelier. Je ne pense pas être une maniaque du rangement, mais à force d'entasser mes tissus les uns sur les autres, je ne me rendais plus vraiment compte de ce que j'avais. Donc un dimanche, j'ai tout sorti pour réorganiser tout ça.

J'avais lu dans un magazine qu'il était plus facile de s'y retrouver dans une penderie en rangeant les vêtements par couleur. J'ai donc appliqué cette régle à mon atelier. Et finalement, ce n'est pas une mauvaise idée, car ça valorise mes tissus et me donne encore plus envie de les utiliser. Et puis, j'ai l'impression d'avoir plus de place.

Bon, me connaissant, je sais que dans quelques temps le rangement ne sera plus nickel, mais je garde l'idée en tête pour lorsque j'aurai de nouveau envie de tout ranger.

Cela faisait très longtemps que je n'avais pas tricoté. Je trouvais ça trop lent et répétitif... Mais n'ayant cette fois-ci pas envie de coudre, et comme il me manquait des gants en laine et que je voulais une nouvelle écharpe, je me suis dit que c'était pourquoi pas le moment de s'y remettre.

Pour ne pas me décourager et éviter que ce soit interminable, j'ai fait au plus simple en utilisant le point mousse et l'écharpe s'est transformée en snood. A la fin, les bords n'étant pas très régulier, j'ai décidé de fixer de la laine avec un aspect fourrure, ce qui le rend tout doux^^. Pour les mitaines, il s'agit de deux rectangles pliés en deux et cousus sur le côté. J'ai trouvé l'idée dans le livre Le point mousse aux éditions de saxe. C'est très basique, mais le résultat est sympa.

Au final, je suis satisfaite de ma session tricot. Par contre la prochaine fois qu'il me vient l'envie de tricoter, il faudra que je revois le timing. Car la réalisation du snood m'a quand même pris une bonne partie de l'hiver. Du coup, je vais devoir attendre l'année prochaine pour le porter...

Arrf... celui-ci j'en ai rêvé plus d'une fois et j'ai failli en acheter un tout beau, tout neuf. Mais j'ai été raisonnable et me suis tournée vers les petites annonces, pour voir si à moindre coût je ne pouvais pas trouver mon bonheur. Ce fut le cas avec ce petit fauteuil crapaud, pas tout jeune c'est sûre, mais en bon état et avec une forme qui me plaisait bien.

Pour lui redonner un petit coup de jeune, j'ai retiré les franges du bas et me suis lancée dans la confection d'une housse. Ce fut un gros challenge, car au début, je ne savais pas trop comment faire pour découper et assembler correctement les différentes pièces, et puis, j'avais vraiment peur de ne pas arriver à tendre le tissu, pour qu'il y ait le moins de plis possible. Au final, après avoir plusieurs fois laissé ma housse à moitié finie sur le crapaud, je suis arrivée au résultat ci-dessous.

En ce qui concerne les couleurs, j'ai choisi une base neutre (gris taupe), pour éviter d'avoir à refaire la housse, si jamais je souhaite changer de déco. La touche de couleurs est apportée par un petit coussin à motifs géométriques.

Lors du salon Créations & Savoir faire de novembre dernier, j’ai craqué pour deux carrés de tissu imprimé, représentant les dessins de deux demoiselles. Je pense que ces deux Miss m’ont inspiré, car en les voyant, j’ai tout de suite pensé à les utiliser comme base pour un nouveau sac.

Encore un ! Mais tu en as déjà plein…, m’a-t-on rétorqué, quand j’ai évoqué mon idée.

Oui, c’est vrai… mais bon des sacs, on n’en a jamais assez, non ?